Avec les artistes Uýra Sodoma et Gê Viana.
Une exposition en partenariat avec Passages Transfestival dans le cadre de la Saison Brésil - France 2025, avec le soutien de CAIXA.
« Lutter pour la forêt, c’est lutter contre le patriarcat, contre le féminicide, contre le racisme, contre la binarité de genre. Et contre l’idée que la personne humaine est au centre de tout. » - Eliane Brum, dans « Banzeiro Òkòtó », Éditions du sous-sol, 2024.
La forêt amazonienne brûle dans un vacarme frénétique ; les tronçonneuses abattent des arbres séculaires, le barrage Belo Monte assèche le Rio Xingu et des tirs couchent les corps des peuples-forêts et de leurs défenseurs. Le serpent de feu se répand en profondeur par la langue du capitalocène.
Terra preta, la terre noire, sédimentée depuis des millénaires, est l’héritage d’une activité humaine ancestrale et symbiotique. Un jeu immémorial d’alliances entre les peuples originels et la forêt a formé ce terreau riche et fertile. Ces artistes originaires explorent ce dialogue entre art et écologie.
Une exposition proposant un regard critique et engagé sur la destruction écologique et les héritages coloniaux, à travers la voix et la vision des artistes Uýra Sodoma et Gê Viana.
Bon à savoir
Exposition en partenariat avec Passages Transfestival et soutenue par de multiples institutions culturelles et gouvernementales.
Lien sourceOù ça se passe ?
Octave Cowbell
4 rue du Change
57000 Metz
France
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